Je n’ai pas l’habitude de me faire parler de cette façon et je suis surprise de ma propre réaction. Oui, cela m’excite, mais en même temps, ma conscience me dit que ce n’est pas correct. J’ai honte de me sentir exciter, d’éprouver du plaisir à me faire traiter de salope. Avec ma bonne éducation, mon cerveau a été programmé à ne pas accepter ce genre de langage, mais mon corps en dit autrement.
Madame Léa a toujours la main dans ma culotte et caresse ma chatte. Je sens un doigt me pénétrer, puis un deuxième. Ses doigts bougent en moi, je les sens s’ouvrir comme pour élargir mon vagin. Je sens son pouce qui caresse mon clito. C’est comme le bouton pressoir pour m’amener vers la jouissance. Mon excitation monte en flèche et c’est à ce moment que Maitresse Roxanne enlève sa main de ma culotte et me montre ses doigts mouillés.
- Regarde comme tu mouilles.
Ses doigts gantés étaient remplis de mon jus. Elle approche sa main de ma figure et je pouvais sentir mon odeur.
- Lèche mes doigts et goûte à ton jus.
J’ai eu un mouvement de recul. Jamais je n’avais goûté au jus d’une femme, pas même le mien.
- C’est la première fois?
- …
J’ai honte. Je ne peux pas avouer que je n’y ai jamais gouté. J’ai vraiment l’air d’une idiote maintenant. Comme je n’ai pas répondu, Madame Léa a ouvert d’environ deux pieds le rideau blanc. Il faisait déjà noir à l’extérieur et même si le rideau n’était pas complètement ouvert, on pouvait toujours me voir.
- Alors? Tu réponds cette fois?
- Oui Maitresse.
- Oui quoi?
- Oui Maitresse c’est la première fois.
- Alors, il y a une première à tout! Lèche maintenant.
J’ai ses doigts sur mes lèvres. J’ai alors sorti ma langue et en fermant les yeux, j’ai commencé à lècher les doigts de Maitresse Roxanne.
- Regarde-moi.
J’ai ouvert les yeux et je l’ai regardé. J’ai vu qu’elle avait un merveilleux sourire. Madame Léa était fière de moi, et cela m’a encouragé.
- C’est bien ma petite lili. Je te promets que tu apprendras à aimer ce doux nectar féminin.
Devant
moi, je vois mon propre reflet dans la fenêtre. Je regarde mon image, les seins sortis de mon soutient, ma culotte à mi-cuisse et exhiber devant la fenêtre. Je me sens idiote et je n’en reviens
pas de ce que je viens de faire. J’ai vraiment honte de moi. Est-ce vraiment ce que je veux? Est-ce vraiment ce dont j’ai envie et ce pour quoi je suis venue? Je sens mon cœur s’accélérer et je
sens que je vais maintenant tout arrêter…
lili
soumise de Maitresse Roxanne
comme dit le carnet de soumission ,tout les matins du lundi au vendredi , avant d'aller travailler ,je dois aller faire bilan medicale sm dans la salle de bain :
-temperature : 36,1 degres
-tension :sys 168 , dia 137 , puls 89
- poids : 94 kgs
Maitresse Roxanne ne demande aussi de boire un bibreon d'urine chaude le matin !!!
voila le bilan du matin pour Maitresse Roxanne
J'attends. Nu, à genoux, le sexe
encagé, les yeux bandés et la mains menottées dans le dos. J'attends. Depuisc ombien de temps ? Impossible à dire précisément. Entre 10 minutes et une heure probablement.
Cela a commencé il y a
un moisl orsque Madame a décidé de me rencontrer. Chaque jour j'ai eu une tâche àe ffectuer pour elle: l'appeler pour la réveiller, lui envoyer un sms à heure fixe, porter un plug ou la cage à des horaires
fixes, rester à genoux les mains dans le dos à penser à elle pendant un temps donné... Bref j'ai dû obéir à un nombre incalculable d'ordres et de consignes durant trois semaines. Le dernier ordre
était clair mais terrifiant:
« Tu vas mettre la cage, la fermer et m'envoyer la clef. »
Je dois avouer que j'ai hésité devant cet ordre. Porter la cage jour et nuit ? Y arriverais-je seulement ?Mais j'aime trop ma Dame pour lui désobéir et (après avoir scellé le double dans une
enveloppe datée par précaution) j'ai mis en place la cage et l'ai fermée avant d'envoyer la clef à ma Maîtresse. Je devais être rouge pivoine en glissant la lettre à la préposée de la Poste qui a
pesé puis affranchi ma lettre. Sur le chemin du retour, j'avais l'impression que chaque passante me savait emprisonné. Sur le visage de chaque femme je voyais un petit sourire narquois de
connivence. La nuit a été difficile (surtout le matin...) mais je me suis habitué à porter la cage. Le plus difficile a été sans doute de ne pas avoir de nouvelles de Madame. Je lui rendais
compte chaque jour de mes états d'âme mais elle est restée silencieuse pendant 5 jours. Lorsqu'elle s'est décidée enfin à me répondre, j'étais dans un état d'excitation et de soumission comme je
n'en avais jamais connu auparavant. J'en pleurais presque de joie lorsqu'elle m'a répondu par e-mail, même si son message allait m'infliger d'autres tourments: Je devais louer une chambre dans un
hôtel le lendemain à 16h00.
Le reste de la journée fut long.Mon sexe se tendait dans sa cage à en être douloureux et le soir venu, afin de tromper mon impatience,je suis allé voir l'hôtel en question. Il s'agit d'un de ces
hôtels en périphérie de ville qui fonctionnent sans personnel la nuit. J'avais pour ordre de me trouver dans une chambre avec tous les accessoires dont je pouvais disposer (plug, lacets, pinces,
menottes...). Ce n'est que très tard que j'ai réussi à trouver le sommeil, élaborant des scénarios plus improbables les uns que les autres, rejouant à l'infini la scène où j'allais enfin
rencontrer ma Maîtresse.
Après une mauvaise nuit (ah, si seulement j'avais pu me caresser, cela m'aurait peut-être calmé !), je me suis levé pour aller travailler. Lorsque j'ai quitté mon travail à 12h00, je me suis
retenu de ne pas aller directement à l'hôtel y attendre Madame. J'ai pris le temps de manger (j'avais déjà mal dormi, je voulais être le plus en forme possible pour cette rencontre). C'est vers
15h30 que je me suis rendu à l'hôtel.J 'ai pris une chambre et m'y suis installé en attendant l'heure fatidique. Les minutes s'égrenaient comme des siècles. A 16h00 pile j'ai envoyé par sms le
code de la chambre à ma Maîtresse. J'ai reçu la réponse suivante: « Bien, je te veux nu, à genoux, un bandeau sur les yeux et les mains attachées dans le dos ». Je me suis donc déshabillé, mis à
genoux, ai posé le bandeau. J'ai pris des menottes, déposé la clef avant de la poser sur la table avant de les refermer sur mes poignets.
J'attends ainsi à genoux. Mon cœur bat très vite. Mes mains dans mon dos sont moites. J'épie chaque bruit dans le couloir. Des pas. Non, la personne poursuit son chemin. Une autre. Peut-être le
service de nettoyage ? Et s'ils venaient à entrer par erreur ? Je dois résister à la panique. Ai-je le choix ? Je ne peux me délivrer. Et si elle ne venait pas, saurais-je récupérer la clef et
actionner le mécanisme d'ouverture des menottes ? Je voudrais m'enfuir en courant mais mon sexe tendu dans sa cage me rappelle à mon désir infini de la rencontrer. Serai-je à la hauteur de ses
attentes ? Ne risque-t-elle pas de repartir sitôt la porte ouverte devant ? J'ai tellement peur de la décevoir.
Soudain j'entends le frottement de la porte contre la moquette. Je sens une présence. Un parfum. Je suis dans l'obscurité sous mon bandeau et je vois la lumière.
Madame ?
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